Où le pied va, le regard peut atteindre;
Où le regard s’arrête, l’esprit peut continuer.
(Victor Hugo)
Le corps physique est un véhicule d’expression alimenté par des corps d’énergie subtile adaptés à la basse fréquence vibratoire de la terre – corps éthérique/vital, émotionnel et mental inférieurs (les supérieurs sont souvent inactifs chez plusieurs durant l’incarnation). La complexité du corps physique n’est rien comparée à celle des champs électromagnétiques des corps subtils. Étant donné que beaucoup de gens ignorent l’existence de ces corps subtils parce qu’ils ne les voient pas, ils se croient uniquement physiques.
Le réseau d’alimentation en énergie subtile comporte un courant vertical majeur auquel sont rattachés des vortex (ou chakras) qui assurent la réception et la transmission de l’énergie universelle (kundalini). Tout comme en électricité, le courant doit circuler partout; lorsqu’il y a une panne quelque part dans le réseau, on est privé d’énergie. Lorsque l’âme coupe le courant complètement, c’est le black-out, la mort. Ces systèmes énergétiques affectent le corps physique ainsi que la personnalité émotionnelle, mentale et spirituelle de l’individu.
Le corps physique
Lorsqu’on dirige une montgolfière on se rend compte qu’on est impuissant à contrôler les forces de la nature; il faut suivre le courant ou changer d’altitude. Dans la vie, lorsque nous voulons changer, il faut aussi changer d’altitude.
(Pilote de montgolfière, nom inconnu)
La tradition bouddhique nous dit que le corps physique n’est qu’un automate servant à enraciner l’âme immatérielle (l’intérieur) dans la matière (l’extérieur).
Le plan de conscience terrestre est surgelé, dense et lent pour nous donner le temps d’apprécier les rebondissements de nos créations. Le genre de corps que nous choisissons affecte notre rendement et notre réceptivité aux énergies internes et externes, subtiles et plus denses. La relation entre l’âme, la personnalité, l’ego et le corps est interactive, c’est-à-dire que ces énergies s’influencent réciproquement. Nous choisissons l’environnement (pays, race, culture, religion, famille) qui servira le mieux le but de notre incarnation; à défaut, il faut s’accommoder d’un plan B ou C. Ces éléments marquent définitivement les automates que nous sommes.
Si le véhicule bio est relativement en bonne condition et que nous voyons à son entretien, il ne devrait pas nous lâcher au beau milieu de l’autoroute. Par contre, si la machine commence à se déglinguer, le CAA (dépannage en médecine dure ou douce) peut parer aux bris mécaniques. On trouve même des moteurs, des transmissions automatiques (organes recyclés, s’entend) dans tout bon body shop médical traditionnel. Le dépannage organique peut parfois repousser la date d’expiration du corps pour un bout de temps. Cependant, il est bon de se rappeler que c’est l’ego (personnalité, corps mental et émotionnel inférieurs) qui, la plupart du temps, est aux commandes et que ce dernier adore la grosse misère.
La nature même du plan matériel fait en sorte que le corps physique domine notre vie au moins à 90%. Qui plus est, nous n’avons pas tellement de contrôle sur ce type de carrosserie antédiluvienne. Tout ce que l’âme «est» ou «essaie d’être» doit passer par la machine biologique – une merveille de complexité restrictive, débilitante, limitée et résistante! L’on dit que le degré de vitalité du corps physique facilite ou freine la réalisation du plein potentiel de l’âme – surtout quand l’ego n’arrête pas de lui mettre des bâtons dans les roues.
Selon ma perception, il arrive aussi que certaines âmes se choisissent des véhicules particulièrement limités, voire handicapés, pour mieux servir leurs buts. Abstenons-nous donc d’évaluer arbitrairement une fois de plus(1).
L’on peut être d’accord ou non avec l’idée que nous sommes ici-bas pour créer un impact significatif, sensible et intelligent sur les conditions de vie arriérées et barbares de cette planète. De par la loi de causalité, nos actes individuels et collectifs ont des répercussions positives et négatives. L’individu qui atteint la symbiose avec «plus grand que soi» peut, par contre, avoir une influence positive, quelle que soit la condition du body, car il peut alors accéder à un destin planifié par le Soi authentique plutôt que par l’ego et la conscience sociale.
Le corps émotionnel
Ainsi le zèle dépasse toujours la mesure; tout en s’étudiant à posséder ce qu’il désire, il oublie la chose essentielle. Et quand il possède l’objet qu’il a pourchassé, sa conquête est comme celle d’une ville incendiée; autant de gagné, autant de perdu.
(William Shakespeare)
On appelle indistinctement le corps émotionnel, corps du désir ou corps astral. Selon la tradition bouddhique, dans notre système solaire, le désir serait la force première qui motive tout mouvement. Selon cette approche, le désir devrait en principe, être subordonné à l’amour vrai. Le corps émotionnel serait apparu en cours d’évolution, en même temps que la conscience de soi (séparation – individualisation). Sa principale fonction serait d’éveiller une sensibilité pouvant déboucher sur l’amour inconditionnel, la compassion et le respect de tout ce qui est.
Le corps astral est l’hôte d’une grande variété d’émotions. L’émotion résulte d’une combinaison de ressentis (provenant des cinq sens – physiques et/ou astraux) et de perceptions mentales. On doit au corps émotionnel notre besoin de contact et d’attachement, nos sentiments, nos attractions/répulsions, nos humeurs et nos peurs. Conjointement au corps mental, il est également à l’origine des rêves, des illusions et des fantasmes dénués de réalité, c’est-à-dire, de la virtualité.
Étant donné que la terre est une école d’individualisation, il est tout à fait logique de nous sentir séparés les uns des autres et de nous perdre dans les effets de la dualité. Cette fausse séparation, que nous tenons pour réelle, fait en sorte que nous cherchons sans relâche à nous réunir pour combler un manque inexplicable – cet éternel besoin de complétude pour lequel nous n’obtenons jamais de satisfaction! (Il est impossible de fusionner physiquement puisque la fonction première du corps est de séparer. Dans la relation sexuelle, qu’on dit être la connexion physique la plus intime entre individus, ce sont les énergies astrales des partenaires qui s’homogénéisent à un plus ou moins haut degré. Seule l’âme peut connaître l’extase. L’orgasme est cérébral; seul le corps physique peut expérimenter la satiété, le corps émotionnel ne connaît que la boulimie.)
L’immunité physique a un pendant de nature émotionnelle. Un système immunitaire émotionnel sain peut différencier les besoins d’avec les désirs; et il sait que nous sommes des êtres autonomes, séparés les uns des autres. Cela peut parfois embêter les gens qui suivent une voie spirituelle basée sur la reconnaissance que nous sommes tous interconnectés et un. En effet, lorsque l’esprit et le cœur s’ouvrent, nous réalisons que nous sommes tous issus d’une même source fragmentée en une multitude de formes. Sur le plan de la conscience supérieure, nous savons que rien n’est séparé. Néanmoins, biologiquement parlant, nos corps sont séparés, et cette propriété exige que nous respections nos différences et nos limites réciproques. Le système immunitaire émotionnel obéit à cette loi biologique, et y déroger ouvre la porte à la maladie.
Le corps émotionnel possède des qualités adhésives qui lui procurent une puissante énergie d’empoigne sur les personnes (la relation velcro en est un bon exemple), les objets qu’il entend s’approprier et les lieux qu’il veut occuper. Si le corps astral n’obtient pas de satisfaction, il finit par lâcher prise et part en quête d’autres objets de désir. Il est fort enclin à la compulsion et nous avons intérêt à maîtriser ses appétits en lui transférant un minimum d’intelligence supérieure.
Le corps des désirs ligote au plan terrestre et détermine le karma égotique, tant et aussi longtemps que l’âme humaine et le Soi authentique ne sont pas coordonnés. Chez les individus peu ou moyennement évolués, la nature des désirs est exclusivement orientée vers la satisfaction personnelle, des valeurs et des attitudes égoïstes. Les êtres plus avancés, dont les désirs sont empreints de désintéressement, sont capables de donner sans attente de retour.
Notre corps astral sert également à évaluer la qualité énergétique de notre environnement. Simultanément, le corps mental fouille sa banque de données pour trouver une référence ou une justification aux réactions émotionnelles. Parfois c’est une pensée (un souvenir, une anticipation, une projection, une association d’idées, etc.) qui déclenche la réaction, parfois c’est un ressenti physique. Les ressentis révèlent les affinités ou les avantages qu’évoquent les objets, les personnes et les contextes. Les ressentis vont de l’attraction à la répulsion en passant par des états intermédiaires tels que la neutralité, le désintéressement, l’indifférence. Notre champ magnétique astral inclut aussi un répertoire de nos vies antérieures que nous avons intérêt à valider et à réinterpréter.
La fréquence vibratoire globale d’un individu (corps physique, émotionnel et mental, personnalité et âme) est un important facteur d’attraction et de répulsion de par l’hypersensibilité du corps astral aux énergies harmonieuses et dissonantes. Nous choisissons le rapprochement ou l’évitement selon notre évaluation des paires d’opposés : amour/haine, confort/inconfort, harmonie/discordance, etc. Dans notre quête d’affinité vibratoire, si nous sommes à l’écoute de notre corps émotionnel, nous détectons immédiatement dans l’aura des autres ce qui est en harmonie – que ce soit négatif ou positif. Il nous arrive d’attirer inconsciemment des opposés plus ou moins extrêmes en raison de relations abrasives expérimentées au cours de vies antérieures. Ces relations ne tiennent généralement pas la route car il s’agit la plupart du temps de karma de culpabilité ou vengeance. La thérapie de régression (recherche des vies antérieures congruentes) et la mise en forme psychologique peuvent aider à muscler l’intelligence émotionnelle et à résoudre ce genre d’attractions malsaines.
Les émotions extrêmes et violentes, libérées à contretemps, ont des effets débilitants. Néanmoins, elles servent parfois de tremplin à une réorientation. Quoiqu’il en soit, les grosses émotions (le cholestérol émotionnel) incluent de grosses factures de stress inutile et il reste plus avantageux d’effectuer des changements sans avoir recours à ce genre d’émeutiers.
L’une des meilleures attitudes à développer à l’égard de ces émotions, est de reconnaître le ressenti sans réagir sur le coup. On peut choisir de laisser redescendre la poussière pour comprendre ce qui se passe et éviter les erreurs d’interprétation. Une usine à émotions/désirs encombrée de glamour est incapable d’évaluer les choses objectivement. Sous l’emprise de la fascination, de la tyrannie du plaisir et de la dictature des goûts, la personnalité ne peut faire preuve de lucidité. Bien peu de gens parviennent à utiliser leurs centres supérieurs de communication – chakras 4 (cœur), 5 (laryngé), 6 (3e œil) et 7 (couronne). Les robots humains, pour la plupart, communiquent seulement au niveau des trois premiers chakras (survie, attraction sexuelle, relations de pouvoir) et donnent dans l’adversité (l’attaque et la défense).
Le corps émotionnel qui traque un désir s’allume littéralement. Par contre, les insuccès récurrents peuvent générer le désespoir et la dépression au point d’aboutir à la maladie physique. Les montagnes russes émotionnelles résultent du sentiment d’impuissance qu’on éprouve si l’impossibilité de concrétiser des buts, des idéaux ou des projets se répète trop souvent. La dépression apparaît surtout chez l’individu qui prend la non réalisation d’un désir pour un échec (voyez le chapitre La liberté spirituelle, La créativité). L’écart entre le désir et la situation réelle est définitivement générateur de stress et de souffrance émotionnelle; ce déséquilibre peut cependant déclencher une charge émotionnelle intense pouvant aider à transcender la situation.
Avoir peur, c’est mourir mille fois, c’est pire que la mort.
(Stefan Zweig)
Et la peur … la frousse autour du monde! La peur est le propre de l’homme; la peur de tout! Dans un monde où la loi du plus fort règne en maître, la peur sert, au départ, à la préservation biologique. De nos jours, elle n’a plus grand chose à voir avec cette fonction utilitaire de protection physique – c’est devenu une dysfonction! Et, celle-ci est souvent attribuable à la mémoire inconsciente de karmas non résolus.
Si les cogitations du mental inférieur intensifient l’émotion négative, nous pouvons carrément paralyser. Notre degré de sensibilité à la peur varie donc selon notre bagage karmique et/ou nos croyances (par exemple, attacher une importance exagérée à la vie matérielle/biologique parce qu’on croit que c’est le seul moyen d’exister). Cependant, si la personnalité arrive à intégrer l’amour du Soi authentique, l’impact de la peur peut s’atténuer car «l’amour parfait dissout la peur», dit le vieil adage biblique.
La peur étouffe; la culpabilité lui fournit la corde.
(P. Filiatrault)
Le corps mental
Les experts sont formels et unanimes : en règle générale, l’ordinateur le mieux adapté à vos besoins est commercialisé environ deux jours après que vous ayez acheté un autre modèle! (Dave Barry)
Mémoire vive, banque de données, machine à penser, réseau référentiel, écran de cinéma, boîte de Pandore, voilà quelques synonymes utilisés pour désigner le tandem cerveau biologique et corps mental subtil. Si vous connaissez les rouages de l’informatique, vous connaissez ceux du cerveau et du corps mental. L’ordinateur est une copie conforme du processus mental élémentaire, soit, un outil pour traiter de l’information (mémoriser, enregistrer, classer, organiser et catégoriser des données).
Le cerveau est le disque dur du corps mental, mais ce n’est pas le corps mental lui-même. Ce dernier possède plusieurs facultés distinctes(2), dont la capacité de mémoriser des données extracorporelles et de se brancher sur la métaconscience ou l’Esprit universel. La pensée étant exclusivement constituée d’énergie subtile, le corps mental peut donc, tout comme le corps émotionnel, reconnaître la nature des vibrations non physiques captées par les cinq sens physiques.
Le mental reçoit et transmet diverses pensées/images et il peut choisir de fixer son attention sur l’une d’entre elles à l’exclusion des autres. Néanmoins, la fixation peut facilement virer en obsession – ces fameuses cassettes jouées à répétition dans notre tête. Les chansons populaires qui débitent des âneries orientées sur l’attachement, l’apitoiement, la tristesse, l’agressivité, la rage et la frustration, ainsi que les bulletins de nouvelles et reportages cloués sur la peur sont des conditionnements psychiques qui nous donnent un aperçu de la qualité lumineuse de l’ego mental collectif.
Le mental inférieur fonctionne par synthèse automatique. Son système de classement de dossiers regroupe spontanément des souvenirs, des pensées, des impressions, etc., selon leur similitude(3). Touts ces éléments sont triés et sauvegardés dans un pour usage ultérieur, comme sur le disque dur de nos ordinateurs en plastique. Au moindre signe de défaillance du système, notre ordinateur interne (portable et sans fils!), avec son dispositif de récupération des dossiers supprimés, nous fait revisiter tout le contenu de notre recycle bin. Nous pouvons effacer l’historique de l’ordinateur électronique; par contre, notre ordinateur bioénergétique n’efface jamais rien. À défaut de succomber à la maladie d’Alzheimer, le matériel caché peut ressurgir au moment où l’on s’y attend le moins. C’est un engin à surveiller!
Sélectionner, couper, copier, coller et catégoriser requiert un minimum de discipline et de tension mentale contrairement au classement inconscient activé par la fonction insertion automatique. Nous collectionnons des chaînes associatives de pensées et d’idées reliées au vécu certes, mais aussi en provenance de la banque de pensées planétaire. Ce faisant, nous nous créons un système de référence – nos favoris. Lorsqu’un individu choisit de s’incarner dans un milieu social limité, il va de soi qu’il ne dispose pas du même éventail de données, bonnes ou mauvaises, utiles ou non. Quantité n’est pas synonyme de qualité. De toute façon, les pensées sont des produits socioculturels jetables.
D’un autre côté, lorsque la personnalité parvient à se connecter au Soi authentique, elle peut jouir d’une plus grande créativité. Cet hyperlien l’autorise à manipuler consciemment son contenu mental autrement que par réflexe conditionné ou insertion automatique. L’individu peut alors sélectionner volontairement diverses données d’une qualité de conscience supérieure (mental supérieur, Esprit universel). La pensée guidée par une intelligence supérieure devient imagination créatrice à l’état pur. (Une suggestion : programmez des mises à jour automatiques et changez de Pentium s’il le faut.)
J’ai des tas d’idées brillantes et nouvelles, mais les brillantes ne sont pas nouvelles et les nouvelles ne sont pas brillantes.
(Marcel Achard)
Certaines pensées charrient beaucoup de lumière et de clarté tandis que d’autres en sont totalement dépourvues. L’intuition véritable facilite les bonds spectaculaires en matière de conscience. La connaissance intuitive directe remplace la cogitation rationnelle, bien que cette dernière soit indispensable pour concrétiser ce qui aura été reçu intuitivement; mais, attention quand même à la pollution électromagnétique.
Les individus qu’on appelle communément des génies sont capables de se brancher sur le courant alternatif de l’Esprit universel pour y puiser des idées et des inspirations nouvelles. En revanche, la plupart des humains se contentent de la collection de pensées/images provenant du catalogue de la conscience sociale. En réalité, nous ne faisons qu’imiter ce que nous voyons et entendons, nous ne faisons que copier/coller. Par analogie, certaines personnes passent leur temps dans les poubelles du web tandis que d’autres naviguent dans les hauteurs. On trouve de tout dans la toile de la pensée humaine et universelle, comme sur Internet.
Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel un loyal serviteur. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.
(Albert Einstein)
L’être éveillé sait que tout n’est qu’un éclair dans le vaste monde phénoménal de l’ego.
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(1) Prenons le cas de Helen Keller. Elle est née sourde, muette et aveugle. À l’époque, cela entraînait un rejet social irréversible. En vulgarisant le Braille et la Langue des signes, elle a appris à ses semblables à communiquer en dépit de leur handicap. Il est donc important de faire la différence entre le karma autopunitif et le karma de «service»; le jugement superficiel n’a aucune raison d’être, encore une fois.
(2) Il y a quelques années, les scientistes ont répandu la notion de cerveau gauche (logique, rationnel) et de cerveau droit (créatif, intuitif). On nous dit maintenant que nous avons trois cerveaux superposés : le cerveau cortical (pensée), le cerveau limbique (émotion/désir), et le cerveau reptilien – l’amygdale située à l’intérieur du cerveau limbique (survie biologique).
Des scientifiques et spécialistes en cardiologie ont mis au point un logiciel capable d’évaluer la pulsation et les rythmes cardiaques. Selon ces chercheurs, même si la fonction cardiaque est autonome, ses réponses sont largement conditionnées par le tandem pensée/émotion. Il y a une correspondance, un va-et-vient, un échange permanent entre ce qu’ils appellent le «cerveau» du cœur et notre cerveau physique. Après avoir testé leur logiciel auprès de personnes ayant des problèmes cardiaques, ces spécialistes ont tiré la conclusion suivante : lorsqu’on est centré sur le soin désintéressé, l’appréciation et la gratitude, la compassion et l’amour inconditionnel, on stabilise les corps physique, émotionnel et mental, ce qui en revanche produit des sentiments d’équilibre, de calme et de clarté favorisant la santé cardiaque. Pour en savoir plus sur le logiciel visiter le site HeartMath, Freeze-Framer.
(3) Voici un exemple amusant de décodage par similitude (origine inconnue) :
Le puovior péhonémanl de l’epsirt huiman
Solen une édute de l’uvinertisé de Cmabrigde, l’orrde des letrtes dnas les mtos n’a acunue ipmrotncae en atunat que la pmeirère et la drenèire lterte sionet au bon ednoirt. Le retse puet êrte dnas un dsérorde tatol, mias vuos pruorez lrie snas dfifitulcé. C’est prace que le craeveu huiman ne lit pas les ltertes iosélenmt, il preçiot le mot cmome un tuot. Énotnnat, non?
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